3 Novembre 2010
Voici les deux terreurs sympatiques de l'internat, les pions William Bigrat (le + grand, habite Notre Dame de Gravenchon 76330) et Jean-Pierre Marchisio (le moustachu, habite St Jean le Blanc en banlieue d'Orléans).
A l'extinction des feux, le dortoir devait être plongé dans le silence....sinon la punition collective consistait à lever tout le monde, debout devant son lit, jusqu'au retour du calme !
L'autorité revenait toujours au pion et à ses punitions parfois pénibles...une époque révolue !